mercoledì 4 aprile 2007

Mais alors si je ne peux pas demander rien à elle














Dans un certain sens changer rue ou continuer pour la même est chose qu'ils s'équivalent.
Si puis elle m'eût dit - je t'aime - tout se serait transformé dans un mensonge, celui-ci est vrai, il est vrai parce que personne de deux heures ne savait ce que l'autre voulait de cette histoire, il était vrai parce que personne de deux heures ne savait quel que l'autre pensait.
- Mais alors si je ne peux pas demander rien à elle, pourquoi la voir encore?
Peut-être pour le même motif pour lequel maintenant elle veut me voir encore. - - Je ne comprenais pas ce qu'elle eût voulu me dire en m'écrivant que pour elle j'étais un cher ami un ami trop cher. Je sais que tout à coup j'ai pris la main à elle, j'ai caressé les épaules à elle et j'ai doucement attiré à moi elle. Elle n'a pas opposé de résistance. Je me suis rapproché mes lèvres des siennes. Elle a fermé les yeux et il a doucement ouvert les lèvres. J'entendais l'odeur de sa peau, j'entendais contre ma poitrine ses petits et moelleux seins. Souvenir d'avoir eu la sensation qui quelque chose dans nos têtes mêmes qui en change de place.
Il était comme si pour chacun de nous l'engrenage de la vie eût fait un déclenchement en devant en produisant un son sec et métallique un son de rupture. -
Ce qui ne réussissais pas à comprendre et que j'ai du mal à maintenant comprendre encore, il est avec lequel je l'anime j'aie fait ceci tout. Tout ceci elle, elle aurait surtout dû l'éviter. Peut-être si j'avais demandé à elle comme il était pu arriver, elle n'aurait pas été la même apte à me répondre. Et alors il a peut-être valu vraiment mieux ne pas avoir fait de questions.
S'il serait pas arrivé maintenant de toute façon, si pas avec moi elle l'aurait fait avec quelqu'un autre et le résultat il aurait été le même.
- Où j'étais j'en tout ceci? Notre rapport a en fin de compte été conditionné toujours par quelque chose d'autre, j'entrais y bien peu. -
Nous restâmes nus et nous nous étreignîmes en silence, comme qui fait l'amour pour la première fois. Nous nous touchâmes en chaque partie du corps et après être nous embrassé pour long temps j'entrai en elle.
Il fut très beau.
Son corps répondait à mon mouvement en me secondant. Je fus différentes fois sur le point de venir, mais il réussit à me retenir, je ne voulais pas faire fin ce moment, je ne voulais pas atteindre l'orgasme sans elle avoir espèce jouir.
J'entendais son souffle se faire rapide de plus en plus, ses mains solides de plus en plus sur moi, quand il entendit un petit bruit à l'improviste à nos épaules.
Elle se leva et sa fiancée vit en controluce.
Je premier de cette époque je ne l'avais jamais vue. Je savais qu'il y avait, je savais qu'elle était fiancée, mais je ne savais pas avec qui, je ne savais pas qu'il vécût avec une femme comme elle.
En retenant le souffle se retira en me laissant sortir chez elle.
Elle tira la couverture sur la poitrine et elle il mit les mains sur son visage. Sa fiancée était arrêté sur la porte de leur monovano.
Il ne pleurait ni il criait. Il restait seul il arrête, là, debout, avec la main qui serrait la poignée de la porte et il nous regardait.
Nous étions à pas plus de trois mètres d'elle, mais ses yeux n'étaient pas en train de ne voir rien peut-être, ils étaient tournés vers une place vide.
Personne de trois heures ne sut se remuer pour premier.
Je n'ai pas dormi cette nuit.
J'avais des frissons le long de tout la dos qui ne réussit pas à freiner avec deux couvertures non plus en plus.
Je rappelle qu'il fut vers les 4 que j'écrivis:
- Continuer à aimer une personne seule pour le reste de la vie est bien autre que trouver des bons amis. -
J'écrivis celui-ci seul et je l'écrivis sur la même feuille quadrillée sur lequel la première fois que nous nous l'embrassâmes il m'avait écrit:
- Un bisou... à mon ami cher, au mien trop cher ami. -

1 commento:

Anonimo ha detto...

ho pianto